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Publié le 5 octobre 2021 à 9h28

M.A.D. propose « Fireworks » (Je perds la tête) 3e extrait vidéo de son EP : Doux-Amer

Crédit et source du texte: Bohemaa Communication


À la suite de la sortie du premier EP « Doux-Amer » de M.A.D. le 26 août dernier, l’artiste a reçu plusieurs bons retours notamment avec la diffusion de « La Fille de personne » sur les stations suivantes : CKIA, CJMD et CHYZ ainsi qu’une performance lors du Festiv’Arts caribéen de Magog. La diffusion du deuxième extrait « La Belle Époque » à CISM, CHOQ, CHYZ, Musique de Montréal, Le Rapologue, Radio-Canadaà l’émission Tout neuf animé par Nicolas Ouellet, une entrevue à Jusqu’au bout le 24 septembre dernier à Radio-Canada et le 5 octobre prochain, à l’émission Je suis Charlie à CKVL.

M.A.D. est de retour, une nouvelle fois avec le vidéoclip « Fireworks (Je perds la tête) », un troisième extrait de son projet. La réalisation et le montage du clip ont été effectué par Reyginald Aärestrup deRealFocus et la chanson a été produite, mixé et matricé par Inspired Muzik

Dans ce récit visuel, l’artiste y va tout en profondeur traitant un sujet assez complexe : le mal-être.

Quand loin d’être en diapason avec le monde actuel, le sentiment de ne pas se sentir « à sa place » est omniprésent. Face aux questions qui restent sans réponses ; aux incohérences que l’on refuse de ne pas voir…

Lorsqu’à cela viennent s’ajouter les traumatismes du passé, l’épuisement physique et mental, la solitude. Un ensemble formant la poudre noire d’une bombe sur le point d’exploser : un feu d’artifice [Fireworks].

L’expression, souvent incomprise, d’une réalité à laquelle plusieurs ont succombé et qui amène l’artiste à questionner non pas (comme cela est souvent le cas) l’individu, mais plutôt l’individualisation faite du sujet ici abordé.

Fireworks (Je perds la tête), c’est cette petite fille dans « Les poèmes de Michelle » de Teri Moïse qui, en continuelle analyse d’elle-même, tel Mac Miller dans « The Question », vient mettre des mots, à l’image du refrain de la chanson « Slippin’ » de DMX, sur ce qui a tendance à appartenir au silence.

Un combat constant pour demeurer fidèle à soi-même. Pour rester pleinement vivant, puissant, lumineux, comme un feu d’artifice.

 

Bon visionnement!