Il fait partie des premiers à avoir fait de la trap music à Montréal

Le terme du mot « Trap » vient directement de la rue et il fait généralement référence à une pharmacie à domicile, où les stupéfiants sont cuits et vendus. Donc les rappeurs qui viennent de la Trap parlent généralement de drogue, de drogue et de drogue. Par contre, le contenu d’une chanson Trap ne se limite pas qu’aux substances illicites. Certains utilisent le terme pour décrire la dure réalité et le triste quotidien des citoyens issus des quartiers défavorisés.
Aux States, les rappeurs ont réussi à se servir de ce mode de vie et donner naissance à ce rythme entraînant qu’on appelle aujourd’hui la Trap Music. Young Jeezy, T.I, Gucci Mane ont littéralement placé cette musique au niveau mainstream. Ensuite il y a eu Future, Rick Ross, Lil Wayne, 2 Chainz et plusieurs autres qui sont suivi le mouvement. En France, ce n’est qu’en 2012 que ce genre musical a fait éruption. On se rappellera de l’album « Futur » de Booba aux sonorités Trap et produit par Therapy (2093 et 2031) des producteurs francophones spécialisés dans ce son. Mais c’est en 2013 avec le clip « Zoo » de Kaaris issu de son album Or Noir que tout a commencé. Cet album est en quelque sorte l’instigateur de la grande vague Trap que le rap français a connu.
Aujourd’hui, la rédaction du JDHH aimerait vous parler du rappeur Montréalais COLO. Rappeur prolifique, provocant et audacieux: Colo a fait son entré dans l’underground en 2013 avec son clip « Mon crack ». En six ans, il a réussi à rester d’actualité grâce à son talent brute et ses multiples vidéoclips. Trappeur par excellence, lorsque vient le temps de parler de Trap music à Montréal, Colo fait partie de ceux qu’on doit considérer comme étant l’un des éléments précurseurs.
T’as que âge et tu viens de quel coin ?






Ma mixtape « Colosama » et plein de shows avec une petite série trap comédie
Visionnez dès maintenant le nouveau clip de COLO « Mal Propre »
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