Avec déjà deux albums à son actif, Lucenda est munie d’une identité vocale qui lui est propre et une direction artistique brisant les normes établies dans le style urbain. Son but est de conquérir un large public connaissant le genre tout en créant une multitude de néophytes. Aujourd’hui, la rédaction du JDHH vous présente notre entrevue avec elle.

 

 

 

 Tu as quel âge et dans quel quartier tu as grandi ?

J’ai 27  ans, j’ai grandi sur la rive-sud de Montréal

 

 

 

J’étais avec un label, mais je suis maintenant une artiste indépendante.

 

 

 

J’aime les artistes de l’industrie du hip hop au QC. Je n’aime pas la façon dont c’est dirigé.

 

 

C’est le rappeur américain Lupe Fiasco qui m’a inspiré a commencer le rap en anglais et le plus influencé. Mais si on parle de rappeuse, Lauryn Hill. Aujourd’hui, je suis vraiment insipirée par Kendrick Lamar et Aaliyah.

 

 

 

Je travaille sur mon EP “Missing pieces” pour une sortie entre Déc. 2017 et début Janvier 2018 et un nouveau clip aussi.

 

 

 

J’ai adoré l’expérience. Je devais le faire au moins un fois, c’était important pour moi.  Ça m’a aidé à pousser mes limites, c’était une occasion parfaite pour mon développement artistique.

 

 

 

The blueprint. Jay-Z.

 

 

 

Je suis extrêmement ambitieuse, mais je veux tout trop vite et tout de suite.

 

 

 

Nicki Minaj. Elle peut faire tout et a le whole package. De plus, je sais qu’elle a des mad skillz car je la suis depuis le début quand elle ne faisait que des cypher et mixtapes. Elle est la queen du rap en ce moment.